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Archives for octobre 2021

Des milieux d’apprentissage et de travail sécuritaires

octobre 26, 2021 by Susan Moffatt-Bruce Leave a Comment

Octobre – mois national de la prévention de l’intimidation – arrive à point nommé, alors que les cas d’intimidation et de violence à l’égard des professionnels de la santé sont à la hausse.

Le mois dernier, la presse annonçait en gros titres que les professionnels de la santé, considérés auparavant comme des héros, sont désormais la cible de menaces. L’article ne négligeait aucun détail sur la vague d’hostilité, d’intimidation et de violence qui déferle sur de nombreux professionnels de la santé, provoquée par des opposants aux mesures sanitaires visant à protéger la population contre la COVID-19.

Même si la nouvelle décrivait une tendance observée aux États-Unis, nous savons tous qu’elle se manifeste aussi au Canada. Il en était aussi question dans The Globe and Mail. Les cas d’abus se sont multipliés durant la pandémie, mais le problème perdure malheureusement depuis trop longtemps.

Les chercheurs Margaret Keith et James Brophy se sont donc penchés sur le phénomène. Leur livre Code White (2021) relate l’expérience d’une centaine de professionnels de la santé, et présente un constat navrant des enjeux systémiques qui perpétuent l’indifférence et l’acceptation de telles situations au Canada, comme si elles étaient implicitement liées à leur rôle.

Or, personne ne devrait faire face à de telles situations.

Voyez comment nous nous employons à lutter contre l’intimidation

Le Collège royal a toujours valorisé les milieux de travail positifs. Par conséquent, les médecins et professionnels de la santé devraient évoluer dans un milieu de formation, d’apprentissage ou de pratique exempt de toute forme de maltraitance.

Le Collège royal a donc diffusé ce mois-ci une déclaration commune du Forum médical canadien pour condamner les brimades, attaques et violences répétées à l’encontre des travailleurs de la santé lors de manifestations organisées devant de nombreux établissements de soins de santé.

Outre cette déclaration, nous mettons tout en œuvre pour apporter des changements. Par exemple, notre processus d’agrément prévoit des réprimandes et des mesures correctives lorsque les programmes de résidence n’assurent pas la sécurité physique et psychologique des apprenants.

Lancé en 2019, notre système d’agrément des programmes de résidence (CanERA) met plus explicitement l’accent sur l’importance des milieux d’apprentissage positifs et sécuritaires. Il repose sur des indicateurs tels que les politiques et les ressources qui assurent le bien-être des résidents. Il procure en outre un processus qui permet d’identifier, de divulguer et de résoudre les cas de mauvais traitement envers les résidents (p. ex., les comportements non professionnels d’intimidation, de harcèlement ou d’abus). Aussi, un sondage annuel permettra aux résidents de se prononcer tout au long du cycle d’agrément — et non seulement une fois aux huit ans, durant la visite d’agrément.

Aussi, dans le cadre de nos activités avec le CanRAC (un consortium composé des trois collèges qui agréent les programmes de formation des résidents au Canada), nous intégrons une perspective antiraciste à la formation médicale, à la recherche et aux soins cliniques. Ainsi, le CanRAC collabore avec des médecins d’expérience qui dirigent des groupes d’experts sur des sujets tels que le racisme envers les Noirs et la santé des Autochtones. Notre engagement commun à l’égard de l’autodétermination influencera les systèmes de santé et de formation médicale en vue de remédier aux inégalités et aux discriminations auxquelles sont constamment confrontés les populations racialisées et sous-représentées depuis nombre d’années. De concert avec le Collège des médecins de famille du Canada et le Collège des médecins du Québec, nous nous pencherons sur un mécanisme où les normes et les processus d’agrément pourront mieux définir, évaluer et mettre en œuvre des attentes claires afin de lutter contre le racisme et d’intégrer la sécurisation culturelle à la formation médicale postdoctorale.

Si vous êtes victime d’intimidation au travail, des ressources s’offrent à vous

Si vous êtes victime d’intimidation ou de harcèlement au travail, sachez que vous pouvez rompre l’isolement. Même si c’est parfois difficile, je vous encourage à demander de l’aide, que ce soit auprès d’une personne de confiance ou d’un mentor. Vous trouverez aussi des ressources en ligne. L’Association médicale canadienne met tout en œuvre pour assurer le bien-être des médecins. Je vous invite à consulter les ressources qu’elle propose, comme la nouvelle Trousse pour assurer son bien-être en temps de pandémie, qui donne aussi accès à des services de soutien. Je tiens également à vous rappeler que le Collège royal offre un module d’apprentissage en ligne pour reconnaître et gérer les comportements perturbateurs en milieu clinique.

L’histoire est loin d’être terminée

Tel une maladie chronique, le système mérite une intervention particulière. Les organisations, les institutions, les travailleurs et les apprenants devront donc mettre la main à la pâte pour que les milieux d’apprentissage et de travail favorisent véritablement le bien-être et la résilience des médecins — non seulement en théorie, mais en pratique.

En attendant, je vous invite à me faire part de vos commentaires sur la façon dont le Collège royal peut encourager davantage les comportements professionnels et éthiques en milieu de travail, que ce soit dans le cadre de l’agrément, du curriculum/de l’apprentissage ou d’autres priorités stratégiques.

N’hésitez pas à communiquer avec moi en tout temps : dg@collegeroyal.ca.

Avec toute ma gratitude,

Susan

Susan D. Moffatt-Bruce, MD, FRCSC, PhD, MBA, FACS
Directrice générale

Filed Under: Blogues, Message de la DG Tagged With: Associés, Ressource, Bien-être, la lutte contre le racisme

Postes à pourvoir | Appel de candidatures

octobre 20, 2021 by Susan Moffatt-Bruce Leave a Comment

Bulletin express de la Dre Susan Moffatt-Bruce, directrice générale du Collège royal.

L’occasion de contribuer

Jouez un rôle auprès des résidents, des Associés et de votre communauté : posez votre candidature afin de siéger à l’un des comités du Collège royal.

  • La date limite est le 31 octobre 2021
  • Les mandats entreront en vigueur en février 2022
  • Recrutement en cours dans + de 15 comités, dont les comités consultatifs régionaux

Trouvez le poste approprié

 

Le Groupe d’étude canadien sur les soins de santé préventifs recrute de nouveaux membres. Saisissez cette occasion unique de contribuer à l’élaboration de guides de pratiques cliniques nationaux.

  • Posez votre candidature d’ici le 30 novembre 2021
  • Consultez les qualifications souhaitées et les détails en ligne

Postulez pour vous joindre au groupe

 

Soumettez une candidature

Aidez-nous à passer le mot! Voici deux occasions d’honorer des collègues exceptionnels. Lisez tous les détails sur notre site Web.

Titre et prix Date limite (2021) Admissibilité
Associé honoraire 12 novembre Individuals who are ineligible for Fellowship
*NOUVEAU* Prix d’excellence en formation sur l’éthique 20 novembre Résidents, Associés du Collège royal

 

Filed Under: Blogues, SMB3 Tagged With: Bénévoles, Comités consultatifs régionaux, Gouvernance, Recherche, Associés honoraires, Prix, Gestion, Pratique professionnelle

Un clinicien-chercheur souhaite introduire trois nouvelles thérapies dans l’UNSI

octobre 12, 2021 by Personnel du Collège royal Leave a Comment

Lorsque le Collège royal lui a décerné le titre d’Associé en 2010, Bernard Thébaud, MD, FRCPC, a senti qu’il s’était taillé une place au Canada comme clinicien-chercheur éminent. « L’obtention de ce titre était pour moi une reconnaissance de mes compétences en tant que spécialiste et a grandement renforcé ma confiance en moi », confie le Dr Thébaud, Associé depuis maintenant 10 ans.

Dr Bernard Thébaud (crédit : L’Hôpital d’Ottawa)

Engagement envers la recherche

Originaire de France, le Dr Thébaud a émigré au Canada lorsqu’il a découvert que l’infrastructure de recherche du pays lui permettrait d’atteindre ses objectifs de carrière. « Au Canada, les cliniciens-chercheurs disposent de temps protégé pour faire de la recherche, ce qui n’est pas le cas en France, explique-t-il. J’ai ainsi pu faire des progrès très intéressants. »

Très intéressants, en effet. Depuis le début des années 2000, le Dr Thébaud a beaucoup contribué à améliorer la santé des poumons et des organes chez les prématurés, d’abord dans le cadre d’une bourse de recherche postdoctorale à l’Université de l’Alberta et ensuite, comme clinicien‑chercheur explorant le potentiel de réparation des cellules souches et d’autres traitements de la pneumopathie du nouveau-né.

Il a reçu de nombreux prix, dont celui de meilleure recherche canadienne sur la santé de l’enfant de Sanofi Pasteur en 2007 et celui de l’étoile montante en recherche périnatale des Instituts de recherche en santé du Canada en 2008. Il a été titulaire d’une chaire de recherche du Canada de 2005 à 2012 et est actuellement titulaire de la chaire de recherche en partenariat sur la médecine régénérative de l’Université d’Ottawa. Le Dr Thébaud a publié 120 articles révisés par des pairs et a présenté plus de 80 conférences au cours des 5 dernières années seulement.

Redéfinition des objectifs

Le Dr Thébaud est actuellement néonatologiste à l’Hôpital d’Ottawa et au Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario, chercheur principal à l’Institut de recherche de l’Hôpital d’Ottawa, et professeur à l’Université d’Ottawa. Extrêmement curieux et intellectuel de nature, le Dr Thébaud a restreint ses objectifs de recherche en 2004 à la suite d’une conversation difficile. « J’ai dû dire à une mère accablée de chagrin que, malgré des recherches prometteuses en laboratoire sur la régénération des poumons endommagés, je n’avais aucun traitement pour sauver la vie de son bébé prématuré. »

Ce jour-là, la mère lui a demandé s’il pouvait faire quelque chose pour son bébé. La réponse était non. « Ce fut une expérience frustrante, qui a changé la donne pour moi », explique le Dr Thébaud. Il a alors décidé qu’il ne ferait des recherches en laboratoire dans un domaine, aussi intéressant et intellectuellement stimulant qu’il puisse être, que si ses découvertes avaient le potentiel d’être transposées dans le contexte clinique dans un délai de 5 à 10 ans. « À mon avis, la recherche n’a pas vraiment d’importance si elle n’a pas d’impact clinique. »

Utilisation de cellules souches pour réparer des organes

L’une des recherches prometteuses du Dr Thébaud, intitulée « Thérapies cellulaires néonatales innovatrices pour la dysplasie bronchopulmonaire (DBP) : transposer plus rapidement les découvertes de la recherche » ou incubateur en abrégé, consiste à utiliser des cellules stromales mésenchymateuses (CSM), un type de cellules souches, pour réparer des organes endommagés chez les prématurés. « Les bébés nés trop tôt peuvent développer toutes sortes de problèmes, notamment la dysplasie bronchopulmonaire, qui survient lorsque les poumons ne sont pas suffisamment formés, » précise le Dr Thébaud. Ces dommages peuvent avoir des conséquences permanentes, comme une fonction pulmonaire altérée, de l’asthme, un vieillissement prématuré des poumons et de l’hypertension pulmonaire.

Dans les études menées sur des animaux, des CSM ont été injectés pour réparer des organes endommagés, et la procédure s’est révélée très prometteuse. Le Dr Thébaud a récemment entamé des essais cliniques de phase I des CSM chez les prématurés.

Thérapie génique pour une maladie pulmonaire mortelle

Dans le cadre d’un deuxième axe de recherche, le Dr Thébaud et ses collègues ont également développé une thérapie qui consiste à remplacer un gène muté associé au déficit en protéine B du surfactant. Substance essentielle au fonctionnement des alvéoles, le surfactant combat les bactéries et les virus. En son absence, les poumons s’affaisseront. Il n’existe pour le moment aucun remède pour soigner les bébés nés avec un déficit en protéine B du surfactant. La plupart d’entre eux meurent dans les premières semaines.

Des études sur des souris ont révélé que cette thérapie génique peut grandement augmenter l’espérance de vie. Sans elle, les souris ayant un déficit en protéine B du surfactant vivent de trois à cinq jours; celles qui la reçoivent vivent quant à elles 200 jours. « L’équivalent chez l’homme serait de quelques semaines sans la thérapie génique à environ 20 ans avec la thérapie, précise le Dr Thébaud. Nous ne pouvons toutefois être certains que le rapport sera le même que chez les souris, mais les études sont prometteuses. »

Bien que de nombreuses questions demeurent sur l’efficacité à long terme de la thérapie génique, le Dr Thébaud s’attend à mettre au point un traitement prêt à être testé sur des humains d’ici deux ans.

Thérapie cellulaire pour l’hypertension pulmonaire

Comme troisième axe de recherche, qui est en encore à la phase exploratoire, le Dr Thébaud se penche sur le recours à la thérapie cellulaire basée sur l’utilisation de cellules progénitrices endothéliales (CPE) pour traiter les prématurés atteints d’hypertension pulmonaire. Des cellules dysfonctionnelles peuvent provoquer de l’hypertension pulmonaire. Le Dr Thébaud étudie les effets de la thérapie basée sur l’utilisation de CPE pour rétablir le fonctionnement de ces cellules.

Traitements applicables à la COVID-19

Bien que la plupart de ses recherches portent sur les nourrissons, le Dr Thébaud affirme qu’elles pourraient également s’appliquer aux adultes. À titre d’exemple, lui et ses collègues des soins intensifs pour adultes ont reçu l’approbation de Santé Canada pour réaliser des essais cliniques sur l’utilisation des CSM pour traiter les patients qui développent le syndrome de détresse respiratoire aiguë, un des nombreux effets indésirables possibles de la COVID-19.

« Certains patients atteints de la COVID-19 présentent une hyperinflammation pulmonaire, et les CSM ont des propriétés immunomodulatrices qui atténuent l’inflammation, » explique le Dr Thébaud. Comme les CSM étaient déjà disponibles, un essai clinique a pu être réalisé en septembre 2020.

Un avenir prometteur

L’objectif du Dr Thébaud de transposer les découvertes de ses trois axes de recherche les plus prometteuses dans le contexte clinique représenterait un important pas en avant pour les soins néonataux, dont les recherches n’ont abouti qu’à deux thérapies révolutionnaires dans les 30 dernières années. « Si nous pouvons introduire nos nouvelles thérapies dans l’UNSI, nous pourrons grandement améliorer la santé des prématurés. C’est mon rêve, et je pense que nous pouvons y arriver. »

Filed Under: Pratique professionnelle Tagged With: Recherche, Associés, néonatologie

Surveillez-vous votre état de santé? Nouvelle trousse de bien-être admissible aux crédits du programme de MDC

octobre 12, 2021 by Personnel du Collège royal Leave a Comment

Crédit : Gift Habeshaw (Unsplash)

Consciente des répercussions de la pandémie sur le bien-être des professionnels de la santé, l’Association médicale canadienne (AMC) a créé une trousse qui comprend des services et des ressources de bien-être éprouvés pour aider les médecins, les apprenants en médecine et les travailleurs de la santé à faire le point sur leur propre santé et à trouver l’aide nécessaire dans leur démarche de bien-être.

Consultez la Trousse pour assurer son bien-être en temps de pandémie de l’AMC dès aujourd’hui.

Chaque cycle de bien-être vous donne droit à des crédits de la section 3 du programme de MDC.

Caractéristiques de la Trousse pour assurer son bien-être en temps de pandémie

La nouvelle trousse de l’AMC comprend

  • un outil d’autoévaluation du bien-être;
  • un accès à des services de counseling et de soutien par les pairs;
  • des ressources pour échanger avec des pairs, soutenir votre équipe et surmonter les difficultés liées à la pandémie.

Cette trousse peut vous aider à gérer un épisode qui mine actuellement votre bien-être, ou à prendre soin de vous de façon proactive.

Chaque cycle de bien-être donne droit à des crédits de la section 3 du programme de MDC

La réalisation des activités et l’accès aux ressources de la trousse de l’AMC peuvent donner droit à des crédits de développement professionnel continu.

Suivez les étapes ci-dessous pour réclamer des crédits de la section 3 (Évaluation de la pratique) du programme de MDC :

Étape 1 : Effectuez l’autoévaluation « Surveillez votre état de santé».

Étape 2 : Participez à une ou plusieurs séances de soutien virtuel en groupe d’une heure sur la plateforme Connexion bien-être.

Étape 3 : Profitez des ressources offertes sur le Carrefour du bien-être des médecins (choisissez le contenu en fonction de vos objectifs en matière de bien-être, sous Échange avec des pairs, Soutien à votre équipe, Bien-être en temps de pandémie, Pensons santé, et autres ressources).

Étape 4 : Répétez les étapes deux et trois si nécessaire.

Étape 5 : Effectuez de nouveau l’auto-évaluation « Surveillez votre état de santé» lorsque vous jugez avoir terminé votre cheminement (étapes 2 à 4) pour vérifier si votre état de bien-être a changé.

Consultez dès maintenant, sans frais, la Trousse pour assurer son bien-être en temps de pandémie de l’AMC.

FAQ sur les crédits de MDC

À combien de crédits ces activités donnent-elles droit?

Le temps consacré aux étapes 1 à 5 peut être consigné au titre de la section 3 (Évaluation de la pratique), à raison de 3 crédits/heure.

Puis-je obtenir des crédits chaque fois que j’effectue l’autoévaluation « Surveillez votre état de santé »?

En résumé, non. Vous devez avoir terminé toutes les étapes du cycle d’amélioration du bien-être (étapes 1 à 5) pour demander des crédits. Vous pouvez donc effectuer l’autoévaluation plus d’une fois. Par exemple, vous pourriez effectuer un cycle qui porte sur le bien-être physique, puis décider de passer au cycle sur la santé mentale. Chaque cycle d’amélioration du bien-être terminé peut donner droit à des crédits.

J’ai déjà consulté des ressources du Carrefour du bien-être des médecins. Puis-je obtenir des crédits pour les apprentissages acquis?

Vous pouvez obtenir des crédits pour l’apprentissage acquis en consultant ces ressources au titre de la section 2 (PFP), à raison de 2 crédits/heure. D’autres sujets d’intérêt ont aussi été ajoutés récemment au contenu du Carrefour du bien-être des médecins de l’AMC : soutien par les pairs, accompagnement, préjudice moral, deuil, réintégration, anxiété, autocompassion, pleine conscience et civilité. Consultez ces ressources gratuites et songez à les jumeler à l’autoévaluation de l’AMC pour obtenir des crédits au titre de la section 3 dans le cadre d’un cycle complet de bien-être.


Vous avez d’autres questions? Communiquez avec nous à l’adresse cpd@collegeroyal.ca

Filed Under: Pratique professionnelle Tagged With: Ressource, Crédits de MDC section 3, Bien-être, MDC, Associés

Sécurisez votre téléphone intelligent : 7 astuces

octobre 12, 2021 by Personnel du Collège royal Leave a Comment

Crédit : Franck (Unsplash)

Octobre est le Mois de la sensibilisation à la cybersécurité au Canada. C’est pourquoi nous vous proposons quelques trucs pour vous aider à profiter de l’espace numérique en toute sécurité.

Les téléphones intelligents sont souvent visés par des atteintes à la sécurité. Voici sept astuces pour accroître la sécurité de votre appareil.

Article connexe : Sécurisez votre ordinateur : 6 astuces

Mettez votre système d’exploitation à jour

Ne négligez jamais les mises à jour de votre système d’exploitation. Ces dernières peuvent contenir des correctifs essentiels pour accroître la sécurité de votre système ou en améliorer le fonctionnement, ou réparer des bogues. S’il est impossible d’installer les dernières mises à jour sur votre téléphone, il est alors préférable de le changer.

Choisissez un mot de passe difficile à deviner et utilisez la biométrie

Les appareils non sécurisés vous exposent à de nombreuses menaces. Ne laissez jamais votre appareil déverrouillé ou sans surveillance.

  • Saisissez un NIP plus long : Si possible, changez le NIP de votre téléphone en optant pour un code à six chiffres plutôt qu’à quatre chiffres. Ces deux caractères supplémentaires feront en sorte qu’il sera beaucoup plus difficile de le deviner. Il faut normalement moins de 50 essais pour deviner un NIP.
  • Activez la biométrie : Si votre téléphone a les fonctions biométriques (p. ex., reconnaissance faciale ou identification par empreinte digitale), activez-les. Entrez seulement vos données biométriques à vous; ne laissez jamais une autre personne entrer les siennes sur votre appareil.

Faites une sauvegarde de vos données et supprimez vos renseignements confidentiels

Plus on utilise notre téléphone, plus on y saisit de données, et plus on risque d’en perdre. Supprimez de votre téléphone tout renseignement confidentiel que vous ne voudriez pas voir tomber entre mauvaises mains, et assurez-vous que les données que vous voulez conserver soient sauvegardées dans un endroit sûr.

Ne vous connectez pas automatiquement à un réseau Wi-Fi public

Les réseaux Wi-Fi publics ou privés non protégés constituent un moyen parfait pour permettre aux malfaiteurs d’accéder à votre appareil mobile. N’utilisez jamais un réseau Wi-Fi public pour accéder à des renseignements confidentiels ou vous brancher au travail ou sur un autre système privé.

Désactivez le Bluetooth lorsque vous ne l’utilisez pas

Un Bluetooth activé constitue un point d’entrée facile pour toute personne se situant dans un rayon de 30 mètres de votre téléphone. Sachez toutefois que l’appli Alerte COVID du gouvernement du Canada utilise la technologie Bluetooth pour repérer vos contacts potentiels.

Faites attention au hameçonnage par texto (smishing)

Outil de communication pratique, le texto est toutefois vulnérable aux maliciels, aux atteintes à la vie privée et aux activités criminelles. Les malfaiteurs envoient parfois des SMS frauduleux pour vous convaincre de divulguer des informations personnelles ou financières.

Afin de réduire les risques pour votre sécurité :

  • n’envoyez pas de renseignements personnels ou confidentiels par texto;
  • n’ouvrez jamais une pièce jointe provenant d’une source inconnue ou peu fiable;
  • évitez de cliquer sur les liens ou de téléphoner aux numéros contenus dans les textos suspects, peu importe qui prétend en être la source (p. ex., banque ou fournisseur de téléphonie mobile).

Choisissez vos applis avec prudence

Téléchargez seulement les applis provenant de sources fiables comme Apple App Store ou Google Play. De plus, vous devriez examiner une appli avant de la télécharger ou de l’acheter.

Voici des exemples d’applis à éviter :

  • applis ayant l’air peu développées;
  • applis ayant reçu de mauvaises critiques;
  • applis dont les permissions demandées n’ont pas de sens (p. ex., une appli de lampe de poche pour laquelle on demande accès à vos contacts);
  • applis provenant d’un particulier plutôt que d’une organisation;
  • applis peu téléchargées.

Vérifiez le vendeur et le concepteur de l’appli avant de la télécharger ou de l’acheter, surtout si vous comptez l’utiliser pour faire des opérations financières ou bancaires.

Pour obtenir d’autres astuces, rendez-vous sur le site Pensez cybersécurité du gouvernement du Canada.

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Sécurisez votre ordinateur : 6 astuces

octobre 12, 2021 by Personnel du Collège royal Leave a Comment

Crédit : Andras Vas (Unsplash)

Octobre est le Mois de la sensibilisation à la cybersécurité au Canada. C’est pourquoi nous vous proposons quelques trucs pour vous aider à profiter de l’espace numérique en toute sécurité.

Nous stockons une foule de données sur notre ordinateur, ce qui nous rend vulnérables aux atteintes à la sécurité. Voici six astuces pour accroître la sécurité de votre appareil.

Article connexe : Sécurisez votre téléphone intelligent : 7 astuces

Installez un logiciel de protection

Procurez-vous et installez un anti-virus et un anti-maliciel. Ce mécanisme de protection additionnel devrait être votre premier investissement après l’achat d’un nouvel ordinateur. N’oubliez pas de faire les mises à jour nécessaires et de lancer une analyse de votre ordinateur au moins une fois par semaine pour détecter toute vulnérabilité et faire les corrections qui s’imposent.

Mettez votre système à jour

Les mises à jour du système d’exploitation et des logiciels ne doivent pas être négligées, car il s’agit d’une des meilleures façons de protéger votre ordinateur. Lorsque votre appareil vous demande d’accepter les mises à jour, acceptez-les sans tarder. Si possible, faites faire les mises à jour automatiquement.

Sécurisez votre navigateur Web

Ne supposez pas que votre navigateur (Chrome, Firefox, Microsoft Edge, etc.) comporte un niveau de sécurité optimal.

  • Faites en sorte que votre navigateur soit à jour.
  • Effacez régulièrement votre historique de navigation et les témoins en mémoire (cookies).
  • Fermez votre session sur les plateformes que vous utilisez lorsque vous avez terminé.
  • Méfiez-vous des extensions sur les navigateurs, car il s’agit souvent d’une méthode utilisée pour introduire des maliciels sur votre appareil. Téléchargez seulement les extensions provenant de la boutique de votre navigateur et supprimez les extensions dont vous n’avez pas besoin.

Faites attention à ce que vous téléchargez

Avant de télécharger quelque chose sur Internet, vérifiez si la source est fiable. Par exemple, téléchargez Zoom sur le site Web officiel de Zoom plutôt qu’à partir des résultats d’une recherche Google ou Bing. Vous pouvez aussi utiliser un anti-virus pour analyser les fichiers avant de les ouvrir et supprimer tout fichier suspect.

Choisissez un mot de passe difficile à deviner

Ne laissez jamais votre ordinateur déverrouillé ou sans surveillance. De plus, choisissez un mot de passe difficile à deviner (de 15 caractères ou plus) pour éviter qu’une personne non autorisée n’entre dans votre appareil. Utilisez un mot de passe différent pour chaque site – oui, vous en aurez des dizaines ou des centaines à mémoriser. Pour vous faciliter la tâche, utilisez un gestionnaire de mots de passe pour y conserver toutes vos coordonnées d’accès et évitez de laisser le mot de passe du gestionnaire près de votre ordinateur. Pour redoubler de prudence, vous pouvez aussi crypter vos fichiers et documents confidentiels.

Ne vous connectez pas automatiquement à un réseau Wi-Fi public

Les réseaux Wi-Fi publics ou privés non protégés constituent un moyen parfait pour permettre aux malfaiteurs d’accéder à votre appareil. N’utilisez jamais un réseau Wi-Fi public pour accéder à des renseignements confidentiels ou vous brancher au travail ou sur un autre système privé.


Pour obtenir d’autres astuces, rendez-vous sur le site Pensez cybersécurité du gouvernement du Canada

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